Le maintien de la perspective sur

extraction de la troisième molaire du troisième Molar Extraction

Summary est l'une des chirurgies buccales les plus courantes effectuées sur des patients canadiens, en particulier les jeunes adultes. Un vigoureux débat persiste sur les risques de rétention de asymptomatiques troisièmes molaires impactées, par rapport à l'extraction. La controverse porte sur l'opportunité nécessité médicale justifie le coût de la troisième extraction molaire pour le patient en termes de douleur importante et la perte potentielle de revenus lors de la récupération et pour les systèmes de soins de santé fédéraux ou provinciaux, qui peut être facturé pour une partie des frais chirurgicaux . Plusieurs études de recherche initiés par l'Association américaine des chirurgiens buccale et maxillo (AAOMS) font état de nouvelles associations entre les maladies buccodentaires et asymptomatiques troisièmes molaires impactées. Ces résultats méritent une attention particulière car ils sont utilisés par le AAOMS à plaider pour la troisième extraction prophylactique molaire 鈥 攁 n approche qui contredit les conclusions d'un rapport canadien des technologies de la santé, la politique American Public Health Association, et les rapports de technologies de la santé de la Suède, la Belgique et La Grande Bretagne. La décision d'extraire les troisièmes molaires semble plus efficace lorsqu'elle est faite au cas par cas qui est adapté à chaque 鈥 état de santé de 檚 du patient et l'accès aux soins professionnels de la santé bucco-dentaire.

En Saskatchewan, une province de plus un million de personnes et où l'auteur se fonde, au moins un fournisseur d'assurance provincial traitait les demandes de près de 13 500 troisièmes chirurgies d'extraction molaires entre 2007 et 2011 à un coût de plus de 2,2 聽 millions de dollars. ^{1 Alors que le total annuel de troisième chirurgies d'extraction molaires partout au Canada est non déclarée 2, on estime que près de 1 et 5 millions de 聽 sont effectuées chaque année au Royaume-Uni et Etats-Unis, respectivement. 3-5 statistiques canadiennes adéquates sur la troisième molaire et l'extraction font défaut , mais sont tenus d'identifier et de répondre aux besoins de notre population, en particulier ceux ayant un accès limité aux soins de santé bucco-dentaire. Selon la façon dont l'éruption et impaction sont définis, 6 diverses estimations de troisième fréquence impaction molaire dans la population générale ont été signalés, allant de 22% -66%. 7-9 Appliquant ces estimations 鈥 攅 ven à la bas de gamme de la gamme 鈥 攖 o la population canadienne se traduit par plus de 7 millions de personnes avec des troisièmes molaires impactées, et potentiellement autant de chirurgies d'extraction.}

l'absence de consensus autour de l'extraction prophylactique

Mais sont prophylactiques troisième chirurgies d'extraction molaires nécessaires? Le débat sur les risques, les avantages et les meilleures pratiques d'extraction de la troisième molaire étend au moins aussi loin que les Instituts nationaux de l'atelier Santé parrainé sur ce sujet a eu lieu en 1979. ^{10 聽 Depuis 2008, l'American Public Health Association a pas pris en charge l'extraction chirurgicale prophylactique des troisièmes molaires touchés. 11 Basé sur des études de suivi des résultats des troisièmes molaires touchés, d'autres organismes de santé nationaux, y compris ceux au Royaume-Uni et en Australie, également recommander de quitter les troisièmes molaires impactées en place à moins qu'ils créent ou devenir associé à un état pathologique. 3,12 de même, ni un rapport de 2012 Centre d'expertise des soins de santé belge, ni 1999 Scottish national Clinical rapport de la ligne directrice défenseur des extractions prophylactiques. 13,14 conclusions similaires ont été tirées par un 2010 suédois évaluation des technologies de la santé. 15}

en revanche, l'Association américaine des chirurgiens buccale et maxillo (AAOMS) considère tous les troisièmes molaires 鈥 攊 mpacted ou non 鈥 攖 o présenter un risque important. En 1998, le AAOMS a commandé une vaste étude fondée sur des données probantes pour quantifier systématiquement les risques et les avantages de conserver ou d'extraire les troisièmes molaires impactées. ^{16 聽 À ce jour, des articles revus par des pairs provenant directement de ce rapport d'étude approfondie que même asymptomatiques touchés troisièmes molaires peuvent devenir associés à la maladie parodontale 17-21 et caries 22,23 de la troisième et /ou d'autres molaires permanentes.}

le Livre blanc AAOMS 2011 sur la base des données probantes troisième Molar critiques de chirurgie le traitement prophylactique à long terme, ce qui, par définition, indique un état sans maladie existe déjà puisque, selon le AAOMS, tous les troisièmes molaires ont le potentiel de devenir associé à la maladie qui est présente ou naissante (mais jamais absent). ^{24 Bien le Livre blanc AAOMS concède qu'il faudra peut-être enlevé chez tous les patients ne sont pas tous les troisièmes molaires, les informations en ligne AAOMS sur les dents de sagesse peut confondre la question en déclarant que 鈥 溾 € hird molaires qui ont 鈥 rupted dans la bouche dans une normale , position verticale peut être aussi sujettes à la maladie que les troisièmes molaires qui restent touchés 鈥 sup & gt;.? 25 Autrement dit, tous les troisièmes molaires sont intrinsèquement sujettes à la maladie et sont donc des candidats raisonnables d'extraction}

contexte canadien <. br>

Il n'y a actuellement pas de position officielle du Canada sur l'extraction de la troisième molaire. Cependant, en 2010, l'Agence canadienne financée par le gouvernement fédéral des médicaments et des technologies de la santé (ACMTS) a publié un rapport sur l'extraction prophylactique de la troisième molaire à travers son Service d'information sur la technologie de la santé (maintenant connu sous le nom de service d'intervention rapide). ^{rapport 2 L'ACMTS a conclu que 鈥 溾 € here est actuellement de preuves suffisantes appuyant ou réfutant
la pratique de l'extraction prophylactique des troisièmes molaires asymptomatiques 鈥? (soulignement ajouté). Il convient de noter que, même si les évaluations indépendantes de l'ACMTS ainsi que celles effectuées en Australie, en Belgique, en Suède et au Royaume-Uni, ont évalué la même recherche sur lequel le AAOMS a fondé ses conclusions en faveur de la chirurgie d'extraction, aucun de ces rapports ont interprété la preuve comme étant assez forte pour plaider en faveur de l'extraction prophylactique. 2,13,15,26}

au Canada, la couverture fédérale des extractions troisième molaires grâce à divers programmes (par exemple, les politiques de services de santé des Forces canadiennes, des anciens combattants Canada, Régime de soins de santé de la fonction publique, le service correctionnel du Canada et le programme des services de santé non assurables) sont variables. Toutefois, lorsque la couverture fédérale existe, troisièmes molaires touchés doivent présenter un risque suffisant, évalué par un professionnel de la santé bucco-dentaire, pour nécessiter l'enlèvement. couverture provinciale et territoriale de l'extraction de la troisième molaire varie également; dans les cas où la couverture est fournie, il est généralement limité aux enfants, les personnes âgées et les résidents à faible revenu.

Les risques posés par les troisièmes molaires touchés peuvent être exagérées

Le problème avec les troisièmes molaires impactées est qu'ils sont associés à divers pathoses qui affectent la mâchoire, la gencive et des dents adjacentes. ^{22, 23, 27 Bien que de nombreux facteurs 28 est utilisé pour prédire la troisième molaire, la prédiction exacte reste difficile. 4 Clairement , l'extraction chirurgicale comporte aussi des risques graves, tels que des dommages permanents à l'os, les nerfs, et l'articulation de la mâchoire. pesant avec précision les risques de rétention par rapport à l'élimination est au cœur de la décision d'extraire.}

Pourtant, les preuves liant directement aux troisièmes molaires maladies bucco-dentaires fait défaut. En outre, on ne sait pas si le risque de maladie liée à l'âge ^{23 (soit le plus âgé du patient, plus le risque apparent posé par les troisièmes molaires impactées) est tout simplement en raison de la probabilité accrue d'accumulation bactérienne et l'inflammation des tissus avec le temps. Il est également difficile de savoir si la position de la troisième molaire à l'arrière de la bouche, ce qui rend plus difficile à nettoyer, contribue à l'association déclarée de asymptomatiques troisièmes molaires touchées par la carie. 22,23}

Garder les mérites et les risques en perspective

La question centrale que les professionnels des soins de santé bucco-dentaire et les décideurs doivent répondre est: sont les risques de retenue troisièmes molaires touchés plus que les risques d'extraction? En outre, au moins dans certains cas où une troisième molaire devient associée à la maladie, il est possible de développer des interventions thérapeutiques non chirurgicales qui traitent la pathologie et ainsi contourner la nécessité pour l'extraction?

Le Livre blanc AAOMS mises en garde à plusieurs reprises que retenu troisièmes molaires, touchés ou non, nécessitent l'observation de routine. Bien sûr, une bonne santé bucco-dentaire exige que toutes les dents soient régulièrement vérifiés, y compris les analyses radiographiques intra-buccales. troisième molaires Ainsi, la charge de la surveillance retenus en un impact relativement mineur, à l'exception des patients qui ne peuvent pas ou ne veulent pas accéder à des soins dentaires réguliers. Dans ces cas, les plans de traitement spécifiques doivent être développées lorsque cela est possible.

L'extraction des problématiques troisièmes molaires impactées est une option efficace et important pour aider à maintenir la bonne santé des patients. Le problème est que la perspective sur les mérites et les risques de troisième extraction molaire par rapport à la rétention a été salie par des preuves scientifiques peu concluantes. Il convient de noter? S plus récents rapports de Santé Canada sur la santé bucco-dentaire omettent troisième état molaire complètement. ^{29,30 leadership solide basée au Canada, appuyée par les statistiques canadiennes complètes sur la troisième molaire et l'extraction, aiderait à définir le statu quo troisième extractions molaires et les expériences des patients. Seulement alors les professionnels de la santé bucco-dentaire canadienne et les décideurs peuvent déterminer les meilleures pratiques pour la troisième molaire soins dans ce pays.}

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