Résumé de l'arrière-plan
Le but de cette étude était de quantifier la perte de temps en raison de problèmes dentaires et de traitement dans le population canadienne, d'identifier les facteurs associés à cette perte de temps, et de fournir des informations sur les impacts économiques de ces questions.
Méthodes
données de l'2007/09 Santé Canada Enquête sur les mesures ont été utilisés. L'analyse descriptive a déterminé la proportion des personnes interrogées qui ont déclaré une perte de temps et les heures moyennes perdues. Régressions linéaires et logistiques ont été utilisés pour déterminer quels sont les facteurs heures prévues perdus et les rapports de perte de temps respectivement. Résultats Les pertes de productivité ont été estimées en utilisant l'approche de la perte de salaire.
Plus de 40 millions d'heures par an ont été perdus en raison de problèmes et de traitement dentaire, avec une moyenne de 3,5 heures perdues par personne. perte Le temps était plus probable chez les personnes à revenu privé assurés et plus. Le montant de la perte de temps est plus grande pour les personnes à revenu élevé, et ceux qui ont déclaré éprouver de la douleur par voie orale. Éprouve de la douleur par voie orale a été le meilleur prédicteur de la déclaration de perte de temps et la quantité de temps perdu.
Conclusions
Cette étude a montré que, potentiellement, plus de 40 millions heures sont perdues chaque année à cause de problèmes dentaires et de traitement au Canada, avec les pertes de productivité potentiels ultérieurs de plus de 1 milliard $ dollars. Ces pertes sont comparables à ceux rencontrés pour d'autres maladies (par exemple, les entorses musculo-squelettiques). Une enquête plus approfondie sur les raisons sous-jacentes de la perte de temps, et quels sont les aspects de la vie quotidienne sont touchés par cette perte de temps, sont nécessaires pour une meilleure compréhension des implications politiques liées aux impacts économiques des problèmes dentaires et de traitement dans la société canadienne.
Mots-clés
Coût de la maladie Economie /dentaire santé bucco-dentaire sociodémographique Contexte économique /
on estime que les maladies buccales touchées plus de 95 pour cent des adultes canadiens en 2009 [1]. Près de 20 pour cent des adultes canadiens avaient la carie coronale non traitée, tandis qu'environ 20 pour cent avaient modéré à la maladie parodontale sévère [1]. Cette même année, les Canadiens ont dépensé environ 12,8 milliards $ pour les soins dentaires [1]. Repré- sentant environ dix pour cent des dépenses totales de soins de santé au Canada, on dit que les coûts directs de la dentisterie au deuxième rang seulement à ceux des maladies cardiovasculaires [1]. Dans l'économie de la santé, les coûts directs représentent les ressources consommées pour traiter une condition et peut inclure des ressources de soins de santé du secteur, les dépenses hors-poche et parfois des fonds provenant des organes statutaires ou volontaires [2]. En revanche, les coûts indirects représentent le temps (travail souvent du temps) consommée pour le traitement et est synonyme de «perte de productivité» [2].
Les coûts globaux de la maladie par voie orale englobent les coûts directs et indirects. Les coûts directs sont attribués à des soins dispensés par les professionnels dentaires, tandis que les coûts indirects sont attribués à la perte de temps au travail, à l'école ou à des activités normales en raison de problèmes et de traitement dentaire. Selon les estimations actuelles sur les coûts directs des soins dentaires sont importants, mais il y a eu une pénurie d'estimations concernant les coûts indirects. Les récemment achevés mesures de la santé Enquête canadienne (ECMS) donne l'occasion d'évaluer les coûts indirects des problèmes dentaires et de traitement dans la société canadienne. Des recherches antérieures dans ce domaine a montré que, comme «indicateurs socio-dentaire,« l'utilisation de la perte de temps de travail, l'école ou à des activités normales permet de problèmes dentaires et de traitement pour être compris en termes de déficience rôle fonctionnement conduisant finalement à des pertes de productivité potentiels . la perte de temps est également facilement opérationnalisé, et lorsqu'il est combiné avec des informations de salaire, peut aider à estimer les impacts économiques que les maladies orales ont sur la société. Quantifier la perte de temps et les pertes de productivité potentiels associés permet ainsi aux discussions politiques de se concentrer sur le fardeau total de la maladie entre les différentes maladies et non pas seulement les aspects cliniques d'une maladie donnée [3].
Travaux dans ce domaine a été achevée en autre Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) (c.-à, les États-Unis et en Australie). Par exemple, le Surgeon General des États-Unis (2000), en utilisant une question de 1996 National Health Interview Survey, qui a demandé au sujet de la perte de temps dans un délai de 2 semaines précédente, a rapporté environ 3,7 jours d'activité restreinte pour 100 personnes, mais n'a pas quantifié ces pertes monétairement [4]. En comparaison, plusieurs estimations sont disponibles pour l'Australie. Le Centre de recherche australien pour la santé bucco-dentaire de la population (ARCPOH) a interrogé les personnes sur la perte de temps à l'intérieur d'une période de 12 mois précédente, et combiné avec cette information sur les salaires pour estimer les pertes de productivité potentiels. Par exemple, les pertes dues à la douleur par voie orale et de l'inconfort ont été estimées à 836,5 millions $ CAN [5].
En bref, quantifier les impacts des problèmes et des traitements dentaires permet monétairement les gouvernements à comprendre plus clairement la charge globale de la maladie dans la population et permet la santé bucco-dentaire à inclure et comparé à d'autres maladies dans le débat plus large de la politique de santé. Ainsi, le but de cette étude était de quantifier la perte de temps en raison de problèmes dentaires et de traitement dans la population canadienne, d'identifier les facteurs associés à cette perte de temps, et de fournir des informations sur les impacts économiques de ces questions.
Méthodes
conception de l'étude et de l'échantillon
Cette étude est une analyse secondaire des mesures de santé 2007/09 Enquête canadienne (ECMS). Statistique Canada a conçu le ECMS soit une enquête transversale volontaire, représentatif au niveau national visant à recueillir des mesures directes de la santé des Canadiens 6 à 79 ans qui résidaient dans des ménages privés d'âge [6, 7]. Ceux qui vivent dans des institutions, sur les terres de la Couronne ou les réserves indiennes, dans les régions éloignées et les membres à temps plein des Forces canadiennes ont été exclus [7]. Exclusions étaient en grande partie en raison de préoccupations concernant la logistique Voyage aux cliniques d'examen mobiles [8]. En termes de populations autochtones vivant sur des terres publiques ou des réserves indiennes, des enquêtes ciblées distinctes ont été réalisées afin de se conformer aux accords de propriété des données. Examen éthique et de consultation sur les questions éthiques, sociales et juridiques de l'enquête ont été fournis par le Conseil d'éthique de la recherche de Santé Canada, le Bureau du commissaire à la vie privée du Canada, et l'accès aux données et la Division des services de contrôle à Statistique Canada [9]. Quatre formulaires de consentement ont été utilisés pour cette enquête: un formulaire de consentement pour les répondants âgés de 20 à 79 ans, pour les répondants âgés de 14 à 19 ans et pour les parents /tuteurs des répondants âgés de 6 à 13 ans, et un formulaire de consentement pour les répondants âgés de 6 à 13 ans [9]. De plus amples informations peuvent être trouvées à la Journée, Langlois, Tremblay et Knoppers (2007) [9].
L'ECMS a utilisé une méthode d'échantillonnage à plusieurs étages qui intègre à la fois la collecte de données d'habitation et physique, et peut être revue ailleurs [6, 7 ]. Les données ont été recueillies auprès de 5.586 Canadiens, qui, lorsqu'il est pondéré que représente 29,157,460 Canadiens sur une population actuelle de 33.476.688, représentant statistiquement 97 pour cent des Canadiens âgés de 6 à 79 ans [10]. Cela a fourni des estimations nationales pour cinq groupes d'âge, qui ont été également distribués pour l'âge et le sexe (6 à 11, 12 à 18, de 20 à 39, 40 à 59, et 60 à 79) pour un total de 10 groupes [7]. Les estimations nationales pour les conditions avec une prévalence de 10 pour cent ou plus et un coefficient de variation (CV) de 16,5 pour cent ont été obtenus, où le CV représente le pourcentage d'erreur standard de l'estimation de l'enquête [8]. Pour assurer que les données sont représentatives à l'échelle nationale l'ECMS a exigé que 500 poids bootstrap être utilisés au cours des 10 groupes d'âge-sexe [8]. Les deux poids de l'échantillon et bootstrap ont été appliqués dans Stata v12.0 avant l'analyse [11] La collecte de données de. Comprend deux étapes, le questionnaire ménage et de l'examen clinique et a été réalisée entre Mars 2007 et Mars 2009. Le questionnaire ménage est composée de 47 modules (722 questions) portant sur l'état de santé, la nutrition et l'alimentation, l'utilisation des médicaments, les comportements de santé, et de l'information socio-économique [12]. Le questionnaire assistée par ordinateur a été aidé par un intervieweur de Statistique Canada [7]. Dans les six semaines de l'entretien ménager, l'examen clinique a été réalisée pour les personnes sélectionnées, et a eu lieu dans une clinique mobile où des mesures physiques (forme cardiovasculaire, examen de santé bucco-dentaire, l'anthropométrie, la force musculaire et de flexibilité), du sang et des échantillons d'urine ont été recueillis [ ,,,0],7]. données sur la santé bucco-dentaire ont été recueillies à la fois le questionnaire des ménages et l'examen clinique. Dans le questionnaire, il y avait 34 questions liées à la santé orale relatives à la satisfaction orale de la santé, les habitudes de soins dentaires, les symptômes oraux et les jours d'invalidité [1]. L'examen de santé bucco-dentaire a commencé avec 18 autres questions sur les symptômes (saignements, douleurs, xérostomie, etc.), suivi par un examen clinique complété par les dentistes des Forces canadiennes étalonnés à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) normes [1]. Pour cette étude, les données ont été consultées par le biais de données de recherche Centre de Statistique Canada (RDC) à l'Université de Toronto ont été invités
variables de données et l'analyse
Dans les participants au questionnaire de ménage:. "Au cours des 12 derniers mois, avez-vous pris temps de travail, l'école ou vos activités normales en raison de check-ups, des traitements ou en raison de problèmes avec votre bouche? "Si les participants ont répondu« oui », ils ont ensuite été invités à quantifier la quantité de temps perdu (à la demi-heure la plus proche) . Dans cette étude, la première variable dépendante se rapporte à la perte de temps de travail, l'école et les activités normales au cours des 12 mois précédents et a été dichotomisée (si le participant a fait ou n'a pas signalé la perte de temps). La deuxième variable dépendante traitée avec la quantité de temps perdu par ceux qui ont répondu oui à la question précédente, et était continue (les participants ont rapporté quantité de perte de temps pour la demi-heure la plus proche). Les variables indépendantes ont été organisées en prédisposant (par exemple, le sexe, l'âge, le statut de carrière, etc.), ce qui permet (par exemple, l'assurance, la suffisance du revenu), les besoins (par exemple, l'autoévaluation de la santé bucco-dentaire et générale, etc.) et les services de santé l'utilisation (par exemple, , la fréquence de voir un professionnel des soins dentaires, le temps depuis la dernière visite chez le dentiste) facteurs comme par le modèle comportemental Andersen des services de santé d'utilisation [13]. Les détails concernant le codage des variables, ou les options de réponse des participants peuvent être vus dans le tableau 1.Table 1 Caractéristiques de l'échantillon, l'enquête canadienne sur les mesures de santé 2007-2009
variable (N)
%
Age (ans, N = 29157460)
6 à 11
7,5
12 à 19
11.5
20-39
30,7
40-59
33,5
60 à 79
16,8
Sexe (N = 29157460)
Homme
49,9
Femme
50,1
diplôme ou grade (N = 28740821)
Supérieur à l'école secondaire
74,4
Moins de 25,6
statut de carrière de haute école
(N = 25001490)
Employed
53.0
Student
16.2
Unemployed
30.8
Employment Type (N = 0,8626)
à temps plein
79,5
temps partiel
20,5
taille du ménage (N = 29157460)
1 à 2 personnes
44,0
3 à 4 personnes
40,7
Le 5 personnes ou plus
15,3
classification des professions (N = 20193946)
gestion
8,0
Affaires, finance et
administrative
17,7
naturel et applique les sciences et les professions liées
9.1
Santé professions
5,9
sciences sociales, enseignement, administration publique et religion
9.3
arts, culture, sports et loisirs
4,8
Ventes et services
24,4
Métiers, transport et machinerie et professions apparentées
14.1
professions propres au secteur primaire
2.4
Professions propres à la transformation, la fabrication et les services publics
4.4
assurance (N = 28976586)
assurance privée
62,6
assurance publique
5,5
Aucune assurance
31,9
de suffisance du revenu ( N = 27216855)
revenu le plus élevé
47,9
Upper revenu moyen
31,9
revenu moyen
14,8
revenu moyen inférieur
3.9
le plus bas revenu
1.6
autodéclarée santé bucco-dentaire (N = 29152410)
Bon à excellent
84,5
pauvres à la juste
15.5
douleur autodéclarée par voie orale (N = 29149758)
Rarement ou jamais
88,4
Parfois
9.1
Souvent
2.5
Le traitement doit (N = 29149991)
Oui
67,2
No
32,8
besoins préventifs (N = 29149991)
Oui
13,7
No
86,3
Fréquence de voir professionnel dentaire (N = 29152032)
urgence ou jamais
16.5
Moins d'une fois par an
9.2
Un ou plusieurs fois par an
74,3
temps depuis la dernière visite chez le dentiste (N = 28208528)
Il y a moins de 1 an
74,5
Il y a plus de 1 an
25,5
statistiques descriptives ( fréquences, moyennes) ont été utilisés pour observer les caractéristiques de l'échantillon et de déterminer la proportion de ceux qui ont signalé une perte de temps par prédisposant sélectionné, ce qui permet, les besoins et les services de santé facteurs d'utilisation. régressions logistiques univariées ont été réalisées pour produire des rapports non ajustés de cotes (OR) pour signaler la perte de temps. Une régression logistique multivariée a ensuite été menée pour déterminer quelles variables sont des prédicteurs dominantes de signaler les pertes de temps, les variables incluses dans le modèle sont les suivants: l'âge, le sexe, le statut professionnel, la classification, l'assurance, la suffisance du revenu, la douleur orale professionnelle auto-déclarée, a rapporté l'auto- douleur en général, les besoins de traitement, les besoins de prévention, la fréquence de voir professionnel dentaire, et le temps depuis la dernière visite chez le dentiste. Enfin, une régression linéaire multivariée a été utilisée pour le résultat continue des heures perdues, la variable inclus étaient: le sexe, le statut professionnel, la santé bucco-dentaire auto-déclarée, l'auto-évaluation de la santé générale, et le temps depuis la dernière visite chez le dentiste. Il est important de noter que seules les variables à faible multicolinéarité, représentés par un facteur de variance de l'inflation (VIF) inférieure à 3 et les valeurs p inférieures à 0,25 dans les analyses univariées ont été saisies dans les analyses multivariées. Le VIF, qui est l'inverse de la tolérance, représente la mesure dans laquelle les écarts sont gonflés ou augmenté en raison de colinéarité [14]. Dans les deux régressions logistiques et linéaires la seule variable omise en raison de colinéarité était la santé mentale autodéclarée. Comme l'ECMS n'a pas recueilli de données sur la population active pour les personnes âgées de 6 à 11 ans, ils ont été combinés avec les 12 à 19 ans catégorie pour former le groupe de référence pour cette partie de l'analyse.
Pertes de productivité potentiels, représentée par la indicateur socio-dentaire de la perte de temps de travail, ont été monétisés en utilisant le capital humain ou perdu méthode des salaires [15]. Cette méthode suppose que les salaires assimilent au revenu une personne produit et en cas de perte représente leur manque à gagner ou coût d'opportunité [16]. Les informations recueillies ECMS la main-d'œuvre se rapportant à la classification de l'occupation, ce qui correspond aux données recueillies dans l'Enquête sur la population active du Canada (EPA) [17]. Le salaire horaire moyen par classification des professions (exactes à Février 2012) ont été utilisés pour estimer les pertes individuelles (à savoir, les pertes individuelles = nombre moyen d'heures perdues × salaire horaire moyen). les pertes sociétales ont été estimés par les pertes individuelles attribuées à travers le nombre total d'employés par profession, qui étaient aussi exactes Février 2012 (c.-à-pertes sociétales = pertes individuelles × nombre d'employés) Résultats de
. Le taux de participation global pour l 'ECMS était de 51,7 pour cent, ce qui signifie que des 8,772 ménages sélectionnés, 69,6 pour cent ont accepté de participer, et de ceux-ci, 88,3 pour cent ont rempli le questionnaire des ménages, et 84,9 pour cent a visité le centre d'examen mobile [18]. Le tableau 1 montre que des personnes interrogées, il y avait une proportion égale d'hommes (49,9%) et les femmes (50,1%), plus de 60 pour cent étaient âgés entre 20 et 59 ans, et 84,7 pour cent résidaient dans 1 à 4 ménages membres. Près des trois quarts des participants ont déclaré avoir été éduqués au-delà du niveau secondaire (74,4%). Plus de 62 pour cent avaient une assurance dentaire privée et 32 pour cent étaient assurés. Près de 80 pour cent étaient dans la moyenne supérieure et tranches supérieures de revenu avec seulement 5,5 pour cent étant dans les tranches de revenu (moyenne inférieure et la plus basse). Près de 85 pour cent perçu leur santé bucco-dentaire de bonne à excellente, et plus de 88 pour cent ont déclaré avoir une douleur orale rarement ou jamais. Près des trois quarts ont visité les professionnels dentaires plus d'une fois par an, tandis que plus de 16 pour cent a visité pour les soins d'urgence. Parmi les personnes interrogées, 35,1 pour cent ont rapporté une perte de temps de travail, l'école ou à des activités normales en raison de problèmes et de traitement dentaire. Le tableau 2 montre que le revenu a diminué tout comme la probabilité de déclarer une perte de temps, et que la fréquence de ressentir la douleur par voie orale a augmenté, tout comme la probabilité de déclarer loss.Table temps 2 Proportion et probabilité de déclarer une perte de temps
variable (N )
%
non désaisonnalisés OR (IC à 95%)
P-valeur
âge (ans, N = 29141400)
6 à 11 (référence)
8.7
12 à 19
14,6
1.2 (0.9, 1.6)
0,236
20-39
28,0
0,7 (0,5 , 0,8)
0,001
40-59
33,3
0,8 (0,6, 1,0)
0,028
60 à 79
15,4
0,7 (0,5, 0,8)
0,001
Sexe (N = 29,141.400 )
Homme (référence)
47,4
Femme
52,6
1,2 (0,9, 1,5)
0,123
diplôme ou grade (N = 28724760)
Supérieur à l'école secondaire (référence)
74,3
Moins de lycée
25,7
1,0 (0,8, 1,3)
0,940
état carrière (N = 24986201)
Employé (référence)
53,7
Student
20,0
1.4 (1.0, 2.0)
0,068
Unemployed
26,4
0,8 (0,6, 1,1)
0,093
type d'emploi ( N = 20091451)
à temps partiel (référence)
20,2
temps plein
79,8
1,0 (0,8, 1,3)
0,756
taille du ménage (N = 29141400)
1 à 2 personnes (référence)
42,7
3 à 4 personnes
41,7
1.1 (0.9, 1.3)
0.298
5 personnes ou plus
15,6
1.1 ( 0,7, 1,6)
0,622
statut autochtone (N = 29112877)
Non (référence)
96,4
Oui
3.6
1.3 (0.5, 3.5)
0,590
statut d'immigrant (N = 29139278)
Non (référence)
80,3
Oui
19,7
0,9 (0,6, 1,4)
0,565
classification des professions (N = 20182418 )
1.0
Management (référence)
9.4
Business , des finances et
administrative
21,4
1,0 (0,6, 1,7)
0,835
naturel et applique sciences et professions apparentées
9.5
0,8 (0,4, 1,5)
0,438
Santé professions
5.1
0,6 (0,4, 0,9)
0,023
sciences sociales, enseignement, administration publique et religion
10.1
0,9 (0,5, 1,4)
0,491
arts, culture, sports et loisirs
5.6
1,0 (0,6, 1,5)
0,923
Ventes et services
23,0
0,7 (0,4, 1,1)
0,125
Métiers, transport et les opérateurs d'équipement et connexes
Professions
11,1
0,5 (0,3, 1,0)
0,040
Professions propres au secteur primaire
1,9
0,5 (0,2, 1,7)
0.251
Le personnel transformation, fabrication et services publics
2,9
0,4 (0,2, 0,9)
0,037
assurance (N = 28964287)
assurance privée (référence)
71,2
assurance publique
5.2
0,7 (0,5, 1,0)
0,045
Aucune assurance
23,6
0,5 (0,4, 0,7 )
0.000
adéquation du revenu (N = 27200795)
revenu le plus élevé (référence)
55,9
Upper revenu moyen
29,8
0,7 (0,6, 0,8)
0,001
revenu moyen
10.6
0,5 (0,4, 0,6)
0.000
Bas revenu
milieu
2,8
0,5 (0,3, 0,7)
0,004
le plus bas revenu
1,0
0,4 (0,2 , 0,9)
0,037
santé bucco-dentaire autodéclarée (N = 29136350)
Bon à excellent (référence)
85,9
Poor juste
14,1
0,8 (0,6, 1,2)
0,277
douleur buccale autodéclarée (N = 29133930)
Rarement ou jamais (référence)
84,1
Parfois
12,2
1.9 (1.4, 2.4)
0,001
Souvent
3.7
2.3 (1.1, 4.7)
0,026
autodéclarée santé générale (N = 29137886 )
Bon à excellent (référence)
93,6
pauvres à la juste
6.4
0,5 (0,4, 0,7)
0,001
santé mentale autodéclarée (N = 29137886)
Bon à excellent (référence)
93,6
pauvres à la juste
6.4
0,5 (0,4, 0,7)
0,001
état autodéclarée handicap (N = 28856199)
Non à une incapacité légère (de référence)
74,1
modérée à grave handicap
26,0
1.1 (0.9, 1.2)
0,500
caod prévalence (N = 27629868)
caod = 0 (référence)
94,5
caod & gt; 0
5.5
1.4 (1.1, 2.0)
0,021
DCAO prévalence (N = 27629868)
DCAO = 0 (référence)
14,7
DCAO & gt; 0
85,3
0,9 (0,7, 1,2)
0,584
Le traitement doit (N = 29133930)
Non (référence)
27.1
Oui
72,9
1.5 (1.3, 1.9)
0,001
besoins préventifs (N = 29133930 )
Non (référence)
90,1
Oui
9.9
0,6 (0,5, 0,7)
0,001
Fréquence de voir professionnel dentaire (N = 29139733)
Moins d'une fois par an (référence)
3.5
un ou plusieurs fois par an
92,3
5.4 (2.9, 9.9)
0.000
urgence ou jamais
4.2
0,6 (0,3, 1.2)
0,136
Temps depuis la dernière visite chez le dentiste (N = 28196229)
Moins de 1 an Il y a (référence)
97,1
Il y a plus de 1 an
2,9
0,04 (0,03, 0,06)
0.000
Lorsque l'on regarde l'impact que les problèmes et les traitements dentaires avaient sur l'échantillon, une moyenne de 3,5 heures par participant ont été perdus de travail, l'école, ou à des activités normales en raison de problèmes dentaires et de traitement, ce qui équivaut à un total de 40,36 millions d'heures au niveau de la population. Pour les adultes (20-69 ans), ce assimilé à 4,14 millions de jours perdus, et pour les enfants (6-19 ans), 2,27 millions de jours perdus. Le tableau 3 montre qu'il n'y avait pas de différences significatives entre les groupes d'âge en termes de la quantité de temps perdu, alors qu'il y avait plus d'une heure de différence entre les hommes et les femmes (2,9 heures contre 4,2 heures). En outre, comme la fréquence de ressentir la douleur par voie orale a augmenté, tout comme le temps perdu, avec ceux qui connaissent la douleur orale fréquente perdre plus de deux fois la quantité de temps que ceux qui la douleur orale rarement ou jamais expérimenté (7,5 heures contre 3,2 heures) . Bien que non statistiquement significative, ceux qui ne cherchait des soins professionnels dans des situations d'urgence ont eu tendance à perdre plus de temps que ceux qui ont visité fréquemment (5,1 heures contre 3,5 heures) .Table 3 heures moyennes perdues
variable
heures moyenne perdu (95% CI)
P-valeur
Age (ans)
6-11
2.4 (2.1, 2.8)
12 à 19
5.3 (3.3, 7.4)
20-39
3.3 (2.7, 4.0)
40-59
3.3 (2.5, 4.1)
60 à 79
3.4 (2.9, 3.9)
0,407
Sex
Homme
2.9 (2.3, 3.4)
Femme
4.2 (3.5, 4.8)
0,015
Niveau de scolarité
Supérieur
du secondaire
3.4 (3.0, 3.8)
Moins haute scolaires
4.0 (2.8, 5.2)
0,352
carrière statut
Employé
3.4 (2.8, 4.1)
étudiant
5.2 (3.4, 7.1)
Unemployed
3.0 (2.6, 3.5)
0,047
Type d'emploi
à temps partiel
4.3 (2.4, 6.1)
temps plein
3.2 (2.7, 3.7)
0,286
taille du ménage
1 à 2 personnes
4.2 (3.6, 4.8)
3 à 4 personnes
3.2 (2.8, 3.5)
5 personnes ou plus
2.8 (2.0, 3.6)
0,004
statut autochtone
No
3.5 (3.2, 3.9)
Oui
3.4 (1.7, 5.0)
0,833
statut d'immigrant
Pas
3.6 (3.2, 4.0)
Oui
3.4 (2.4, 4.4)
0,763 classification
travail
gestion
2.9 (2.1, 3.7)
Affaires, finance et administration
3.8 (2.6, 5.1)
naturel et applique sciences et professions apparentées
2.9 (2.1, 3.7)
Santé professions
3.6 (1.1, 6.1)
sciences sociales, enseignement, administration publique et
Religion
3.7 (2.6, 4.8)
arts, culture, sports et loisirs
3.9 (1.9, 5.9)
Ventes et services
3.7 (2.6, 4.9)
Métiers, transport et machinerie et liés
Professions
2.8 (2.0, 3.5)
Professions propres au secteur primaire
3.3 (2.4, 4.2 )
transformation, fabrication et services d'utilité publique
2.2 (1.7, 2.6)
0,450
assurance
assurance privée
3.6 (3.2, 4.1)
assurance publique
2.8 (1.4, 4.1)
Pas d'assurance
3.4 (2.8, 4.1)
0,498
adéquation du revenu
revenu le plus élevé
3.5 (2.9, 4.1)
revenu moyen supérieur
3.9 (2.6, 5.1)
revenu moyen
3.4 (2.9, 3.9)
revenu moyen inférieur
3,9 (0,9, 7,0)
le plus bas revenu
2,7 (1,9, 3,5)
0,483
auto-évaluation de la santé bucco-dentaire
Bon à excellent
3.4 (3.0, 3.7)
pauvres à la juste
4.6 (3.2, 6.0)
0,105
douleur buccale autodéclarée
Rarement ou jamais
3.2 (2.8, 3.6)
Parfois
4.9 (3.2, 6.6)
Le plus souvent
7.5 (4.7, 10.3)
0,022
auto-évaluation de la santé générale
Bonne à excellent
3.6 (3.2, 3.9)
Poor juste
3.0 (2.3, 3.7)
0,114
santé mentale autodéclarée
Bon à excellent
3.6 (3.2, 3.9)
pauvres à la juste
3.0 (2.3, 3.7)
0,114
statut autodéclarée handicap
Non pour incapacité légère
3.4 (3.0, 3.8)
modérée à grave handicap
4.0 (3.2, 4.8)
0,170
caod prévalence
caod = 0
3.6 (3.2, 3.9)
caod & gt; 0
2.8 (2.3, 3.4)
0,045
DCAO prévalence
DCAO = 0
4.0 (1.8, 6.2)
DCAO & gt; 0
3.4 (3.0, 3.8)
0,614
Le traitement doit
Oui
3.6 (3.1, 4.1)
No
3.4 (2.8, 4.1)
0,759
besoins préventifs
Oui
3.7 (2.6, 4.9)
No
3.5 (3.1, 3.9)
0,753
Fréquence de voir professionnel dentaire
Moins d'une fois par an
3.9 (2.2, 5.7)
Un ou plusieurs fois par an
3.5 (3.1, 3.8)
urgence ou jamais
5.1 (2.0, 8.3 )
0,448
temps depuis la dernière visite chez le dentiste
Il y a moins de 1 an
3.6 ( 3.2, 3.9)
Il y a plus de 1 an
2.2 (1.1, 3.2)
0,019
Table 4 montre que ceux qui ont déclaré éprouver de la douleur par voie orale étaient souvent presque 5,0 fois plus susceptibles de déclarer le temps perdu par rapport à leurs homologues, ce qui rend la douleur par voie orale le plus fort prédicteur de signaler la perte de temps. Le tableau 5 montre que, en termes d'heures de travail perdues, d'être une femme a été associée à une augmentation de 1,3 heure dans la quantité de temps perdu par rapport aux hommes. Bien que non statistiquement significative, étant un étudiant (au niveau universitaire) équivaut à 1,6 heures perdues par rapport aux personnes employées. Ici encore, comme la fréquence de ressentir la douleur par voie orale a augmenté tout comme la quantité de temps perdu, avec la douleur orale fréquente étant associée à une augmentation de près de 4,0 heures dans la quantité de temps lost.Table 4 multivariée par régression logistique de ce que prédit des rapports de perte de temps ( en Bloc modèle)
Variables (N = 18153248)
OR (IC à 95%)
P-valeur
âge (ans)
6-19 (référence)
20-39
0,9 (0,5, 1,6)