Dans une note récente aux dentistes de l'Ontario, l'ORCDO a fait l'éloge du principe de précaution comme le fondement sur lequel construire des lignes directrices de contrôle des infections. Peut-être, avant de l'être effusive dans son soutien, le Collège aurait dû prendre le temps de comprendre les véritables conséquences de ce principe.
Le principe de précaution dicte que «Lorsqu'une activité menace de préjudice à la santé humaine ou des mesures de précaution environnement devraient être prises même si certaines relations de cause à effet ne sont pas pleinement établis scientifiquement. " 1 il est pas étonnant que les gouvernements et les organismes de réglementation similaires sont tellement épris du principe car il leur permet d'adopter des règles et règlements sans qu'il soit nécessaire de fournir une preuve manifeste quant à leur nécessité ou l'efficacité. Le principe de précaution peut être, mais est-il démocratique Dans son livre 2005, «Lois de la peur: Au-delà du principe de précaution»? le principe de précaution est censé fournir les meilleures pratiques pour la prévention, la surveillance et le contrôle des maladies infectieuses. Ces objectifs ne peuvent être atteints sans d'abord identifier la maladie spécifique, son agent causal, son mode de transmission, ses «à risque» les patients et les mécanismes de contrôle pratiques et efficaces. En d'autres termes, la réalisation réussie des objectifs exige une certitude scientifique quant à la nature de l'infection. Le principe de précaution est utilisé par les organismes gouvernementaux pour planifier de futures épidémies de maladies infectieuses. Ne ces organismes ne réalisent pas que la certitude de l'avenir est impossible. Professeur Philip Alcabes dans son livre 2009, "Dread, Comment Fear and Fantasy Have fonctionnant au Epidémies de la peste noire à la grippe aviaire" En 1996, le ORCDO était fier du fait qu'il avait "mis au point des lignes directrices fondées sur des données probantes sur l'utilisation des précautions universelles de prévention des infections." 4 Il est regrettable que cette approche a été abandonnée pour celle qui permet au Collège de réglementer la profession, tout en ignorant ses fondements scientifiques. Voilà l'erreur ultime du principe de précaution. OH REFERENCES 1. Adler JH. Précautions dangereuses. National Review en ligne. Disponible: www.nationalreview.com/script/printpage.p?ref=/adler/adler091302.asp 2. Sunstein CR. Les lois de la peur: Au-delà du principe de précaution. Cambridge University Press, New York, 2005. 3. Alcabes P. Dread, Comment Fear and Fantasy ont alimenté Epidémies de la peste noire à la grippe aviaire. Affaires publiques, Perseus Books Group, Philadelphie, PA. 2009 4. CDA. APD et ORCDO Clarifier Lignes directrices sur les précautions universelles et l'application du Code des droits. RCDS Dispatch 1996; 10 (3) www.oralhealthjournal.com --- Le principe de précaution peut être, mais est-il démocratique
Cass R. Sunstein (l'un des plus cités de la loi du monde professeurs) est emphatique que le principe de précaution ne donne aucune indication parce qu'il soit approuve l'absence d'action, puisque le faire entraînerait des risques plus grands ou, elle préconise un labyrinthe de plus en plus complexe des recommandations et des règlements qui ont peu de rapport avec le risque original et font l'objet à aucune analyse efficace des coûts. 2 Il y a deux défauts fondamentaux inhérents au principe de précaution. La première est qu'il permet aux organismes de réglementation de la forme et les décisions politiques de l'influence qui ont peu ou pas de justification scientifique. La seconde est l'hypothèse arrogante par les partisans du principe selon lequel seuls les bons de émane de sa pratique. Comme indiqué par le professeur Frank Cross de l'Université du Texas, "La faille vraiment fatale du principe de précaution, ignoré par presque tous les commentateurs, est la présomption non pris en charge qu'une action visant à la protection de la santé publique ne peut éventuellement avoir des effets négatifs sur la santé publique." 1 est-ce que l'ORCDO souhaite vraiment fonder ses politiques de contrôle des infections sur un tel principe imparfait?
soutient cette affirmation en notant que, "Quelle que soit la maladie provoque la prochaine grande épidémie, nous avons gagné 't voir venir. " 3 il est d'avis qu'il serait insensé de croire que tout changement dans notre comportement à risque arrêtera la prochaine grande peste. Le principe de précaution ne sera pas arrêter cette épidémie future. Seule la recherche scientifique permettra d'assurer son contrôle et la prévention.
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