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Lettre (Mars 01, 2001)

 

Re: «Risk Quantifiable en médecine dentaire: Une lettre à la profession», par le Dr EJ Neiburger, santé bucco-dentaire, Janvier 2001

Je vous écris pour féliciter le Comité de rédaction de la perspicacité et le courage de publier l'article Neiburger, que je considère comme innovant et un regard rafraîchissant sur la question du contrôle de l'infection.

Dr. Les vues de Neiburger sont logiques et scientifiques. Dans le passé, la pensée des professions a été véhiculées par les médias et quelques-uns d'entre nous ont eu le courage de parler publiquement de peur d'être posé sans ménagement. Je me suis souvent demandé pourquoi la direction académique et ceux qui prétendent être les scientifiques ont pas parlé plus tôt. Je sens qu'il ya beaucoup d'autres parmi nous qui se sentent de la même façon et je suis à l'aise que la marée va maintenant se tourner vers le protocole de contrôle de l'infection sur la base des données probantes. Aucun dentiste ou le patient n'a jamais succombé à un dentiste de ne pas porter des gants en latex, mais certainement beaucoup sont morts d'une allergie au latex induite par le choc anyphylactic.

Eric Luks, DDS, D. Orth., MScD

Toronto

Il était vraiment rafraîchissant de lire une critique érudite dentaire philosophie de contrôle de l'infection d'aujourd'hui. Comme les dentistes de conscience nous essayons de suivre les recommandations de bonne foi, même lorsque les mesures sans fin sont pratiquement impossibles à mettre en œuvre. Je suis sûr que beaucoup de dentistes se demandent si les mesures sont nécessaires ou efficaces. A en juger par l'analyse incisive du Dr Neiburger, une grande partie de ce que nous faisons est ni.

Ici aux États-Unis, la mise en œuvre des recommandations contraignantes est assimilée à la qualité. Les dentistes qui tentent d'exercer un bon jugement risque de rejet de leurs patients et le vitriol du conseil dentaire. Je crains que nous dans l'US sommes inextricablement embourbés dans nos excès. Heureusement, le Canada est toujours ouverte au son des mesures fondées sur la science par opposition à la politique.

Stephen D. Carter, DDS

Snellville, GA

Félicitations pour votre courage de publier «Lettre du Dr. Neiburger à la profession. »L'article était une bouffée d'air frais après une décennie de non scientifique peur mongering par les activistes du sida et, dernièrement, par les signes avant-coureurs de l'hépatite. Dentistes de ma génération ont passé 30 ans et plus dans le traitement des patients sans infecter notre personnel, nos patients ou nous-mêmes à la fois dans l'ère pré-sida et l'ère post-sida. La plupart d'entre nous ont perdu le désir d'être jusqu'à nos coudes dans la salive et le sang et va probablement continuer avec nos propres versions de «précautions universelles», plus comme un geste de relations publiques que sur la base de principes scientifiques. La vie comporte des risques, mais il faut garder le sens des proportions.

Joseph D. Zucchiatti, DDS

Terrace, BC

Merci-vous tant pour l'impression de l'article «Risk Quantifiable en dentisterie ...» par le Dr EJ Neiburger. Trop nombreux éditeurs manquent de courage ces jours comme je l'ai découvert personnellement

John Austgen, DDS

South Bend, IN

En ce qui concerne l'article du Dr Neiburger -. Alléluia. Comment tout à fait il est rafraîchissant de voir dans la presse les détails de l'escroquerie que nous appelons «précautions universelles».

Si tout ce qui était à abattre la majorité de nos patients soumis à un traitement dentaire sans le «bénéfice» de ces précautions universelles, don 't les universitaires et les scientifiques proposant sentir nos hôpitaux et cimetières seraient remplis à craquer avec les victimes. Il est clair que cela n'a jamais été le cas, est pas le cas et ne sera jamais le cas.

Le seul vainqueur dans la perpétuation de cette erreur sont les fabricants des produits destinés à nous permettre de livrer ce «service» et ceux qui continuent pour soutenir son utilisation. Combien de millions de dollars ont été gaspillés dans le monde entier dans la réalisation de ce canular inutile? Les vraies victimes sont nos patients qui doivent payer la facture pour l'augmentation de nos coûts à la suite de ces services non requis.

Espérons que d'autres penseurs courageux auront le courage de parler publiquement contre ces exigences souvent prescrites et que nous allons tous vivent pour voir le jour où «précautions universelles» sont relégués à la même place dans l'histoire comme Snakeoil et ses vendeurs. Bien fait santé bucco-dentaire en apportant cette excellente pièce à notre attention.

Gary Pitkin, DDS

Agincourt, ON

Félicitations pour la publication de l'article du Dr Neiburger. Il était attendu depuis longtemps.

Dr. J. Victor Legault

Montréal